5000 milles ans séparent l'oeuvre de Brancusi et ces petites statues des îles grecques Cyclades, mais le geste est là, le même.
Simplicité de la forme, courbe sublime, légèreté de l'objet, sobriété : l'ataraxie est atteinte.
"Le baiser" de 1907, qui sera le début d'une série qui finira par la "borne-frontière", avec en apogée "l'ensemble de Tirgu Jiu", contiens l'essence du geste Brancusi.
"Le nouveau né" version bronze, sublime ovoïde, idem "la muse endormie" ou "le commencement du monde".
"Pirncesse X"," Mademoiselle Pogany III" allongement de l'ovoide, comme une élévation, élévation qui explose avec "la colonne sans fin ".
Brancusi est au-delà, il donne du rêve, de la poésie.
αἰὲν ἀριστεύειν ( Exceller toujours )