mercredi 30 mars 2011

Egon Schiele, fulgurance de l'être.

Tout d'abord, ce leitmotiv : le corps nue, fatigué, estropié.
Pas d'érotisme, la récurrence du sexe annihile celle-ci.
Puissance du trait,qui délimite les corps dans un espace au-delà du support.
La couleur "hématome" des corps, n'est ni sordide ni cadavérique: en équilibre harmonique avec le fond ocre,ce pigment décliné en plusieurs tons.
De même avec le vert, le bleu, ou le jaune... non exhaustif.
Schiele fût dans la faille, rentrer dans son opus c'est y restée, quelle joie!


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